Concert / Jazz
Muséique #1 Swing Borely
Dim. 15 septembre
11H00.
+
Exposition "OpenMyMed : opus sur la création de
mode en Méditerranée"
François Devun • Violon
Nicolas Koendiger • Contrebasse
Mathieu Arnal • Guitare
Jérémie Schacre • Guitare
Le jazz a plus que sa place au Château Borély ! Et quoi de mieux que le Jazz Swing et son énergie communicative ? Surprises et virevoltages au programme : on va se régaler !
François Devun • Violon
Nicolas Koendiger • Contrebasse
Mathieu Arnal • Guitare
Jérémie Schacre • Guitare
Le jazz a plus que sa place au Château Borély ! Et quoi de mieux que le Jazz Swing et son énergie communicative ? Surprises et virevoltages au programme : on va se régaler !
En partenariat avec le Musée des arts décoratifs, de la faïence et de la mode, les Musées de la Ville de Marseille et la Ville de Marseille.
François Devun
Nicolas Koedinger
Mathieu Arnal
François Devun
Nicolas Koedinger
Mathieu Arnal
François Devun commence l’étude du violon classique à l’âge de 4 ans à l’école Suzuki de Marseille. Cette pédagogie japonaise enseignée dans le monde entier développe particulièrement l’écoute, la mémoire et la créativité musicale et instrumentale.
Plus tard, il décide de pratiquer le violon jazz au conservatoire d’Aix-en-Provence. Riche de cette expérience en musique improvisée il décide alors de se perfectionner en intégrant l’école du CMDL à Paris.
Aujourd’hui, il partage des scènes avec des musiciens de grand talent comme Didier Lockwood (Jazz Festival de Cassis, Jazz Up d’Avoriaz) et de multiples formations comme celle du collectif de musiciens de jazz Swing du Sud avec le talentueux guitariste Mathieu Arnal. Motivé par son intérêt et sa sensibilité aux musiques d’Europe de l’Est, il intègre le groupe Les Oreilles d’Aman en octobre 2016.
François Devun commence l’étude du violon classique à l’âge de 4 ans à l’école Suzuki de Marseille. Cette pédagogie japonaise enseignée dans le monde entier développe particulièrement l’écoute, la mémoire et la créativité musicale et instrumentale.
Plus tard, il décide de pratiquer le violon jazz au conservatoire d’Aix-en-Provence. Riche de cette expérience en musique improvisée il décide alors de se perfectionner en intégrant l’école du CMDL à Paris.
Aujourd’hui, il partage des scènes avec des musiciens de grand talent comme Didier Lockwood (Jazz Festival de Cassis, Jazz Up d’Avoriaz) et de multiples formations comme celle du collectif de musiciens de jazz Swing du Sud avec le talentueux guitariste Mathieu Arnal. Motivé par son intérêt et sa sensibilité aux musiques d’Europe de l’Est, il intègre le groupe Les Oreilles d’Aman en octobre 2016.
Nicolas Koedinger débute la basse électrique en autodidacte à l’âge de 15 ans. Il rejoint ensuite la classe de jazz du Conservatoire de Marignane et poursuit sa formation à l’ I.M.F.P. où Il fait ses premiers pas derrière la contrebasse.
Captivé par son nouvel instrument et le rôle que celui-ci occupe au sein d’un orchestre, il aura une véritable révélation en écoutant des contrebassistes tels que Charles Mingus, Oscar Pettiford ou encore Scott La-Faro qui deviendront ses principales influences.
En 2007, Nicolas présente ses propres compositions au jury du Conservatoire National de Marseille et obtient une médaille d’or à l’unanimité. En 2012, il monte son propre projet (Nicolas Koedinger 5tet) et remporte quelques mois plus tard avec celui-ci, le tremplin de jazz à Porquerolles (prix du jury et prix du public).
Nicolas Koedinger débute la basse électrique en autodidacte à l’âge de 15 ans. Il rejoint ensuite la classe de jazz du Conservatoire de Marignane et poursuit sa formation à l’ I.M.F.P. où Il fait ses premiers pas derrière la contrebasse.
Captivé par son nouvel instrument et le rôle que celui-ci occupe au sein d’un orchestre, il aura une véritable révélation en écoutant des contrebassistes tels que Charles Mingus, Oscar Pettiford ou encore Scott La-Faro qui deviendront ses principales influences.
En 2007, Nicolas présente ses propres compositions au jury du Conservatoire National de Marseille et obtient une médaille d’or à l’unanimité. En 2012, il monte son propre projet (Nicolas Koedinger 5tet) et remporte quelques mois plus tard avec celui-ci, le tremplin de jazz à Porquerolles (prix du jury et prix du public).
A 24 ans, il se passionne pour le jazz en rencontrant comme une révélation la musique de Django Reinhardt.
Affinant son propre style en matière d’improvisation, au fil de jams , représentations, et rencontres sur le festival de Samois sur Seine, sa sensibilité particulière lui permet d’être apprécié dans le milieu du jazz manouche.
Pour promouvoir cette musique dans sa région natale, il crée avec d’autres passionnés son propre quintet en 2015, le collectif Swing du sud.
Il se produit dans diverses formations mais plus spécifiquement au sein d’un quartet, deux guitares, violon, contrebasse au couleur du hot club de France.
A 24 ans, il se passionne pour le jazz en rencontrant comme une révélation la musique de Django Reinhardt.
Affinant son propre style en matière d’improvisation, au fil de jams , représentations, et rencontres sur le festival de Samois sur Seine, sa sensibilité particulière lui permet d’être apprécié dans le milieu du jazz manouche.
Pour promouvoir cette musique dans sa région natale, il crée avec d’autres passionnés son propre quintet en 2015, le collectif Swing du sud.
Il se produit dans diverses formations mais plus spécifiquement au sein d’un quartet, deux guitares, violon, contrebasse au couleur du hot club de France.
©Chris Boyer
©François Devun
Jérémie Schacre
Médaillé d’or de guitare classique et de musique de chambre du Conservatoire d’Aix-en-Provence, Jérémie Schacre est depuis toujours fasciné par la musique de Django Reinhardt. En parallèle il étudie aussi le flamenco avec le maître Juan Carmona. En 2006 il crée avec son ami violoniste Jean-Christophe Gairard le groupe Clair de Lune Trio qui se spécialisera dans les musiques des Balkans, notamment de Roumanie. Aujourd’hui il est membre du groupe Tzwing (compositions d’inspiration manouche), du FadoRebetiko project avec la chanteuse grecque Kalliroi Raouzeou, et de l’ensemble Nova Zora (chants Rroms & Bulgares).